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12 mai 2015 2 12 /05 /mai /2015 07:46
Fête du jeu 2015 / 2

Mais quel âge a donc Teddy Bear et d'où vient-il ce brave ourson ?

Fête du jeu 2015 / 2

Le président américain, Théodore Roosevelt, pratiquait la chasse à l’ours. Un soir, alors qu’il allait rentrer bredouille, ses compagnons de chasse capturèrent un ourson, l’attachèrent à un arbre et invitèrent le président à le tirer. Mais Roosevelt s’y refusa et demanda que l’on libère l’ourson.
L’anecdote ayant été révélée, cela entraîna un regain de popularité du président auprès de certains américains et quelques caricatures moqueuses, en particulier dans le Washington Post en 1902. Roosevelt était désormais associé à l’image de l’ourson.

Fête du jeu 2015 / 2

L’année suivante, un couple d’émigrés russes de Brooklyn réalisa un ourson en peluche et demanda l’autorisation au président de l’appeler Teddy (diminutif de Théodore). Celui-ci l’accorda. En 1903, était donc créée la manufacture Ideal Novelty and Toy Co. qui fabriqua les premiers oursons en peluche. 

Le  virus se répandit très rapidement, l’Allemagne suivit la première ( ours Steiff). L’arrêt des échanges occasionnés par la Première Guerre Mondiale entraînèrent des lancements de fabrication dans les principaux pays européens.

Fête du jeu 2015 / 2

Quelques critères distinctifs des oursons anciens : fabrication à la main, coussinets sous les pattes réalisés dans un tissu différent, nez et bouche brodés à points verticaux, yeux en bois entre 1903 et 1913, en verre entre 1914 et 1945, ensuite apparaissent les yeux en plastique …

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12 mai 2015 2 12 /05 /mai /2015 00:14

Jusqu'à la fin du mois de Mai, à l'occasion de la Fête du Jeu 2015, retrouvez Antoine qui vous présentera les jeux et jouets du Musée de Moûtiers.

 

Fête du Jeu 2015

Aujourdhui, à tous seigneurs et gentes dames tous honneurs, quelques mots sur les ours et poupées.

Fête du Jeu 2015

Les conservateurs de musée sont des gens sérieux. Mais voilà que pour les besoins d’une très sérieuse photographie, on sort le camion en bois des années 50, fruit de la collaboration d’un oncle menuisier et d’un père peintre pour les finitions. On y installe le « Teddy bear » dodu dans son tablier vintage. A ses côtés un cousin plus âgé, il a fait le bonheur d’une petite fille dans les années 1930 ; il est très fier et semble fixer l’objectif, un peu apeuré par ce moment important : une photo de famille. Alors les conservateurs, toujours aussi sérieux, installent aussi le petit ourson sur le capot du camion. Petit ourson, lui aussi, a quatre-vingt ans. Pas un regard sur ce qui se passe à côté, le côté des filles. Un fauteuil en rotin des années 60 pour accueillir bien sûr la poupée de cire et la poupée de son. Si les conservateurs n’avaient pas été très sérieux, ils auraient pu continuer à jouer toute la journée car le musée a maintenant une riche collection de jeux et de jouets ; un siècle du paradis des enfants. Mais d’autres photographies les attendaient ...

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1 mai 2015 5 01 /05 /mai /2015 21:35

Il serait intéressant de faire un inventaire de toutes les cartes postales éditées par le célèbre imprimeur moûtiérain François Ducloz. La numéro 73 présente une vue générale assez classique d'est en ouest, prise fin 19ème siècle - avant 1903. On a les points de repères habituels (église Sainte-Marie en rive gauche, tour du prieuré Saint-Martin en rive droite qui a été démolie en 1905).Ce qui est plus curieux, c'est que Ducloz détourait les paysages avec des recoloriages (photoshop avant la lettre !). Le détourage des pentes permettant d'accéder à Hautecour donne l'illusion d'un paysage très ouvert, mais regardez bien le tracé de la route : elle n'est plus d'une grande utilité !

Moûtiers - collection françois Ducloz
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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 00:00

Nous sommes à l'extrémité de la Grande-Rue, là où commence la Place Saint-Pierre (à ne pas confondre avec la Place du Marché qui est au nord de la cathédrale). Les petites-filles s'intéressent au photographe. Les garçons, devant le porche de la cathédrale, semblent, sur les photographies de cette époque, dans un éternel jeu de chat perché sur les piédestaux. Quant aux adultes, on ne sait pas ce qui se passe, mais il y a mieux à faire que de regarder l'objectif.

Place Saint-Pierre (Éditions Conche)

La carte postale était vendue par les éditions Conche - Moûtiers. C'était l'époque où Damien Conche, "le Père Conche", tenait son magasin de journaux dans la Grande-Rue, à l'angle de la Cardinale. Ce même Damien Conche (1877 - 1970), à 88 ans, deviendra l'élève de son voisin Anselme Boix-Vives et se lancera dans une aventure picturale, certes tardive, mais pleine de jeunesse.

Place Saint-Pierre (Éditions Conche)
Damien Conche (1877-1970) - vers 1965

Damien Conche (1877-1970) - vers 1965

Damien Conche - La femme et le pot-de-fleur

Damien Conche - La femme et le pot-de-fleur

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 23:50

Marie Magdeleine, 900 Kilos, Maria, 80 kilos, et les autres. Elles ont l’airain solide et sont toujours prêtes à partir à la volée. Elles bénéficient du plus beau point de vue sur la ville.
 

L'envol du bourdon

Il y a environ mille ans, l’on reconstruisait la cathédrale de Moûtiers de style roman lombard. Parmi les choix architecturaux, l’on décidait alors d’entourer cette cathédrale de quatre clochers. Deux, dont les bases subsistent, encadrent le chœur et les deux autres se trouvaient à l’avant des nefs latérales. Il n’était, bien sûr, pas question de doter l’ensemble de ces clochers, un seul devait accueillir les cloches annonçant les messes, carillonnant baptêmes et mariages et tintant le funèbre glas.
    Ces trois clochers vides furent au moins l’occasion de créer un mauvais calembour : « Moûtiers a quatre clochers, trois sans (trois cents) cloches ! ».
    Dans l’éphéméride campanaire peu de renseignements. Tout au plus la catastrophe de la Fête Dieu 1552 qui vit la mort du gros bourdon qui ne pesait pas moins de 37 quintaux. Un accident fatal pour les gens de son espèce : une fêlure qui le brisa net.

 

    L’histoire des cloches est liée à celle des horloges. C’est dés 1420 que l’on installa une horloge à la cathédrale de Moûtiers. Cela montre que Moûtiers était dans l’air du temps puisque les principales villes européennes se dotèrent d'horloges publiques dans le demi-siècle qui précède l’installation moûtiéraine.

On peut signaler que dans les archives communales a été précieusement  conservé un acte du 28 février 1420 par lequel Révérend François Bermond, prêtre de Saint Pierre, était spécialement chargé de remonter l’horloge. Cela méritait bien un acte écrit puisqu’il devait accomplir cette tâche quotidiennement. Cela supposait donc rémunération : on lui offre la jouissance d’un pré et, par la suite, on y ajoutera un modeste salaire.
    Dans la série des petits métiers disparus, il faut donc ajouter aux sonneurs, les remonteurs d’horloges.

 

L'envol du bourdon

Dans les clochers savoyards, il est un nom qui reste à tout jamais maudit, c’est celui d’Albitte. En effet, ce représentant en missions, responsable révolutionnaire dans les départements de l’Ain et du Mont Blanc avait décrété, en 1794, que tous les clochers devaient être rasés. Ces bâtiments étaient pour notre Robespierre savoyard d’une hauteur insolente qui heurtait la bienséance démocratique. Quand la démocratie ne veut voir qu’une tête, il n’y a plus qu’à raser,  faire fondre les cloches et récupérer les cordes pour la marine.
    Dans chaque paroisse, on n’autorisa que la conservation d’une petite cloche pour le tocsin. Mais dans de nombreux lieux, les révolutionnaires ne purent jamais emmener les autres cloches. Soigneusement cachées par les gens du lieu, les cloches attendirent des temps meilleurs et l’on se contenta de répondre aux émissaires d’Albitte que les cloches avaient du partir à la volée !
    A Moûtiers, il ne put en être ainsi. La présence du pouvoir central a effectivement entraîné la destruction des quatre clochers, qui en tombant sur la cathédrale démolirent la charpente qui, elle-même, entraîna l’effondrement des voûtes. Quant aux cloches moûtiéraines, elles prirent le chemin des fonderies de l’Etat.
    Après la reconstruction de la cathédrale, vers 1830, il ne fallut pas moins d’une trentaine d’années de palabres entre les autorités religieuses et la municipalité pour qu’un clocher puisse être reconstruit et doté de nouvelles cloches.

 

L'envol du bourdon

Le clocher de Moûtiers culmine à 30 mètres, ce qui équivaut à la hauteur d'un immeuble de la taille des "Cimes", c'est-à-dire une dizaine d'étages, mais, bien sûr, sans ascenseur ! Allez rencontrer les cloches cela se mérite.

L'envol du bourdon
L'envol du bourdon

Un dernier effort ...

L'envol du bourdon

    En 1861, grâce à la célèbre maison Paccard, on place dans le clocher moûtiérain la doyenne. Cent cinquante quatre ans de bons et loyaux services malgré un certain embonpoint puisqu’elle ne pèse pas moins de 900 kilos. C’est le bourdon, qui donne un do dièse, et qui répond au doux nom de Marie Magdeleine.

L'envol du bourdon

En 1878, notre bourdon peut annoncer la naissance d’une petite sœur, un poids plume de 80 kilos : Ave Maria.

L'envol du bourdon
Marie-Magdeleine et Ave Maria

Marie-Magdeleine et Ave Maria

Après la Première Guerre mondiale, le 25 mai 1919, sous l’impulsion de Mgr Termier, trois nouvelles venues : elles sont dédiées au Sacré Cœur, aux Anges gardiens et à tous les Saints.  Époque oblige, l’on grave sur l’une d’entre elles : je chante la Victoire de la Paix.
    La dernière-née est une jeunette de 64 ans. Le 17 septembre 1950 fut en effet un grand jour pour le clocher. Une date révolutionnaire. En effet, grâce à l’entreprise Chevalier, les cloches sont électrifiées. Les Quasimodo moûtiérains en ont fini de leur travail harassant, depuis ce jour il suffit d’appuyer sur un bouton pour que tout se mette en branle.
    La maison Paccard en profite pour refondre l’une des cloches qui s’accordait mal avec le carillon et pour installer la cadette qui répond au nom de Cécile Germaine. Son parrain fut Monsieur Joseph Viguier et la marraine Madame Germaine Bernard Granger.
    Par la suite, comme en de multiples domaines, l’informatique a trouvé place. Depuis quelques années, une horloge permet de déclencher automatiquement certaines sonneries, le dimanche en particulier. De petits programmes ont également permis de mettre en mémoire quelques carillons.
    Ainsi va la vie des cloches, témoins de leur époque et mémoires de l’histoire des individus et des communautés.

 

L'envol du bourdon
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28 mars 2015 6 28 /03 /mars /2015 21:14

Au moins cinq lieux ont, successivement, vu l'implantation de la poste à Moûtiers : dans la Grande-Rue, côté nord à l'angle du passage Grenette (plan de Moûtiers de 1841) ; le petit local qui est situé au n° 37 de la rue Cardinale; puis, au cours du XIXe siècle, marquant une première extension de l'activité, le bâtiment le plus proche du pont Maisel, qui abrite aujourd'hui une boulangerie ; en quatrième lieu le bâtiment qui se trouve sur le square de la Liberté, inauguré en septembre 1905; et enfin, à ce jour, le bâtiment situé avenue du 8-Mai-1945, bâtiment qui commença à être utilisé en octobre 1973.
 

Le 20ème siècle voit donc la poste du Pont Maisel vivre son dernier lustre.

La maison du facteur

Et dans son dernier quart, le 20ème siècle sera donc marqué par une nouvelle poste là où il n'y avait que des jardins (1973).

La maison du facteur

C'est donc en 1905 que l'on construit le nouvel hôtel des Postes, Télégraphes et Téléphones. Si les deux premières dénominations renvoyaient à des supports plus anciens, le téléphone était alors une réalité encore nouvelle dans la ville, puisque cela faisait seulement quatre années que le téléphone public y était installé. Au niveau national, c'est en 1889 que l'Etat prend le monopole du téléphone, une loi consacrant alors l'appellation de « ministère des Postes, Télégraphes et Téléphones ».
Le conseil municipal avait été appelé à se prononcer, dès 1902, suite à un courrier du directeur des Postes, Télégraphes et Téléphones du département de la Savoie, sur deux projets : l'un visait à implanter le bureau dans un immeuble du quai de la République appartenant à l'imprimeur Ducloz ; l'autre consistait à construire un hôtel des Postes sur un terrain appelé square Chaboud, situé entre la prison et le poids public. C'est cette seconde solution qui l'emporta largement, les élus semblant soucieux, au delà des simples données techniques, de doter Moûtiers d'un véritable hôtel des Postes.
Le bâtiment commença a être réalisé sur les plans de l'architecte Cuvy pour une somme budgétée de 36000 francs, mais des différends entre l'architecte et la commune firent que le projet lui fut retiré. La commune fit alors appel à l'architecte chambérien Victor Charmot, qui acheva la construction. Charmot, à la demande de la commune, devait faire détruire le perron imaginé par Cuvy, que l'on jugeait trop haut. Le coût final du bâtiment fut de 54981 francs. La volonté d'une architecture ostentatoire se lit dans le perron surmonté d'un balcon, le fronton et les mansardes richement décorés. Petit détail insolite : la façade est traversée par l'inscription « Télégraphes, Postes, Téléphones » et l'on a
placé dans le fronton les armoiries de la ville, qui sont inversées : l'aigle impériale a pris la place des clés ; cette liberté a animé en un siècle bien des discussions, certains Moûtiérains pensant que l'on a là les véritables armoiries de la cité. Ce qui prouve au moins le prestige des bâtiments administratifs !

 

La maison du facteur

Ce qui a motivé cet article, outre un futur lutrin du patrimoine, c'est la découverte de cette rare photographie qui a exactement 110 ans ayant été prise à la fin de l'hiver 1905 alors qu'il restait environ six mois avant l'inauguration. Le bâtiment est achevé mais l'aménagement reste à faire.

La maison du facteur

Nous arrivons donc en septembre 1905. L'inauguration de cet hôtel des communications donna lieu à une grande cérémonie républicaine, d'un coût de 7600 francs pour la commune, à laquelle avait été invité Alexandre Bérard, politicien de l'Ain, qui était alors sous-secrétaire d'Etat aux Postes et Télégraphes. Le ministre déclara : « Vous habitez, messieurs, un pays où la richesse s'étale en des sites merveilleux. Notre première richesse est cette nature si belle et si grandiose, et il faut que tous viennent l'admirer. Notre service de courrier ne sert pas seulement à porter les lettres : il transporte aussi les voyageurs et nous nous prêtons volontiers à cette sorte de contrebande qui contribue au développement économique de notre pays natal, dont les cartes postales propagent la beauté. Elles sont pour vous une ingénieuse réclame et la plus admirable ressource du budget des Postes. »
Tout est dit : un pays que l'on juge maintenant à l'aune de ses paysages, les cartes postales, la force des images, premier document d'appel en matière de promotion touristique, et les promesses de richesses occasionnées par tout cela. Si la première carte postale autorisée fut autrichienne, en 1869, c'est depuis la loi du 20 décembre 1872 que la correspondance « à découvert » avait été autorisée en France, donnant ainsi naissance à la vente des premières cartes postales françaises.
Dans son discours, le député Constantin Empereur n'avait sans doute pas tort de conclure, dans un bel élan lyrique, que « cette journée pourrait bien être l'aurore d'une ère nouvelle ».

 

La maison du facteur

Jours fastes pour Moûtiers et sa région puisqu' au cours de deux journées l'on inaugura les très importants aménagements du torrent Le Morel, l'hôtel des Postes, le nouvel hôpital et les nouveaux thermes de Salins-les-Thermes.

La maison du facteur
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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 16:05

Pour faire suite à un précédent article sur cette scierie, une photographie du début du 20ème siècle.

La scierie Cérino - Martin (2)

On voit bien le canal de fuite de la scierie, le mécanisme hydraulique actionnant une scie "battante" à l'intérieur de celle-ci. On voit aussi, qu'en rive gauche, l'Isère semble se surélever : c'est le départ du canal d'amenée alimentant la centrale électrique du comte de Lauzière puis de Clément Château.

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13 mars 2015 5 13 /03 /mars /2015 22:56
Place Saint-Pierre

La Place Saint-Pierre, début 20ème siècle. Presque une photo de classe ! On remarquera l'ancien toit du clocher de l'horloge et les modifications de la façade.

Place Saint-Pierre
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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00
La Sous-préfecture de Moûtiers

Siège de l'intendance de Tarentaise sous le régime sarde, Moûtiers deviendra sous-préfecture lors du Rattachement à la France. En 1926, à la suite d'une grave crise financière, le parlement autorise le gouvernement Poincaré à procéder par décret « à toutes suppressions ou fusions d'emplois, d'établissements ou de services ». C'est le décret-loi du 10 septembre 1926, qui supprime ainsi 106 arrondissements en justifiant essentiellement l'économie réalisée par l'évolution des moyens de communication : « Partout où les communes possédaient le moyen convenable d'établir leur liaison avec l'administration centrale, la sous-préfecture a été supprimée. » Certains virent surtout dans ces suppressions l'occasion d'un nouveau découpage électoral. Toujours est-il que le nombre des arrondissements passa de 386 à 280.

Le bâtiment devenu inutile, c'est le projet de construction d'un Hôtel de Ville qui précipitera les coups de pioche et, en 1932, la Sous-préfecture de Moûtiers n'était plus qu'un souvenir.

La Sous-préfecture de Moûtiers
La Sous-préfecture de Moûtiers
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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 21:55
Le bâtiment de la dîme et la centrale

Voici une vue de Moûtiers très classique puisque présentant l'archevêché et le pont Saint-Pierre. Le cadrage est intéressant puisque le photographe est en bordure d'Isère. L'intérêt vient surtout du fait que l'on a, en rive droite, le bâtiment de la dîme aujourd'hui démoli. C'est là où l'on stockait le grain pour la fameuse distribution du Pain de Mai. En rive gauche, le cadrage ne permet pas vraiment de voir la centrale électrique de Clément Château, mais l'on voit l'eau qui, après turbinage, jaillit dans l'Isère.

Le bâtiment de la dîme et la centrale
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